Terre à terre

Cette semaine, nous soulignons l’importance d’une alimentation plus durable avec Omie pour préserver nos sols et notre résilience alimentaire.

Les sols sont nécessaires à la production alimentaire et aux écosystèmes. Sauvegarder la santé du sol pour les générations futures, c’est l’une des valeurs qui anime la démarche d’Omie et qui nous a fait choisir l’agriculture régénérative comme moyen d’action.

Pourquoi le sol, on doit s’en soucier ?

Il joue le rôle de puit de carbone, capté dans l’atmosphère, et contribue aux efforts de résistance au changement climatique et d’atténuation de ses effets extrêmes sur les cultures.

Connaissez-vous le test du coton enfoui ?

Le fameux test, bien connu des agriculteurs, consiste à enterrer un morceau de coton. 40 jours plus tard, c’est parti pour le déterrage afin de constater ce qu’il en reste. Le principe est simple : plus le coton est dégradé, plus les organismes du sol (champignons, vers de terre, bactéries…) se sont nourris, et donc, plus le sol est vivant. Un sol vivant, c’est un sol en bonne santé.

Ses habitants jouent un rôle essentiel pour la nutrition des plantes. C’est elles qui rendent assimilables la matière organique pour les plantes. Sans eux, l’agrosystème est en déséquilibre !

Les notes chez Omie, c’est essentiel.

C’est pourquoi notre objectif d’ici fin 2024, est de formuler l’intégralité de nos produits afin qu’ils soient notés entre A et B par le Planet-Score. Il s’agit d’un affichage environnemental indépendant prenant en compte l’impact sur la biodiversité, sur le climat et l’utilisation de pesticides des produits, classés de A à D.

Nos ingénieurs agronomes chez Omie se reposent sur l'aide de notre laboratoire partenaire CelestaLab, composé de 15 salariés, notamment des agronomes et techniciens de laboratoires, tous passionnés de terre. Ils analysent la qualité et la vie du sol, s'il y a des bêtes vivantes, vieillies ou jeunes, et leur rapidité à ingurgiter la nourriture qu'on leur donne.


Quel lien avec Omie ?

Celestalab nous permet de connaître l’état initial des sols de nos agriculteurs et producteurs partenaires, afin d’accompagner les recommandations d’indicateurs scientifiques et de former nos partenaires au fonctionnement d’un sol.

Besoin de quelques chiffres (attention, pas très joyeux) pour alimenter le débat face à un(e) interlocuteur quelque peu climatosceptique ?