Le constat

Nous sommes à la croisée des chemins. Soit on continue à produire et consommer comme on le fait depuis cinquante ans et on accélère le réchauffement climatique et la destruction de la biodiversité. Soit on change nos habitudes et on prend (enfin) soin de notre planète.

Chez Omie, nous pensons qu’il est encore possible de prendre la bonne direction. Comment ? Grâce au pouvoir de l’alimentation.

D’ici 2050, 70% des sols européens seront inexploitables.
Trop travaillés, les sols se détériorent et sont moins fertiles, déjà 60% des sols du monde sont dégradés, principalement à cause de l'agriculture intensive. Source : FAO 2021, L’Etat des ressources en terres et en eau pour l’alimentation et l’agriculture dans le monde - des systèmes au bord de la rupture. Rapport de synthèse 2021. Rome.

En France, 33% des émissions de gaz à effet de serre d’une famille sont liées à l’alimentation. Source : le rapport du GIEC

75% des insectes européens volants ont disparu en 30 ans.
Avec la destruction des habitats naturels (sols, haies, forêts), la biodiversité est mise à mal. Source : article scientifique de Plos One.

En 2017, plus de 300 substances actives de pesticides ont été retrouvées dans les eaux souterraines françaises.
Source : portail notre-environnement

18% des membres de ménages agricoles vivent sous le seuil de pauvreté, contre 13% pour ceux des ménages exerçant une autre profession. Les agriculteurs font face à la pression des rendements et des volumes ainsi qu’à des prix de plus en plus tirés vers le bas. Source : Insee

72% des Français sont défiants vis-à-vis de leur alimentation quotidienne. Les citoyens et citoyennes ne savent plus par qui, ni comment sont produits leurs aliments. Source enquête Keedn

Quand les agriculteurs adoptent des méthodes plus vertueuses et que les consommateurs choisissent leurs produits, notre alimentation est beaucoup plus respectueuse de l’environnement. Mieux : au lieu d’être un problème, elle sera une solution pour un monde plus sain et plus vivant. Rendre possible cette transition alimentaire et lui donner de l’ampleur : c’est la mission d’Omie.